Une stratégie pour la police de l’environnement

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Depuis le passage d’Irma, la vie de la Réserve a repris un cours un peu plus normal le 22 novembre avec la participation de Nicolas Maslach et de Franck Roncuzzi au “Copolen”, le comité de pilotage de la police de l’environnement, en Guadeloupe. Organisée à la demande du parquet de Basse-Terre, cette réunion a eu pour objectif de mettre en place une stratégie opérationnelle de contrôle des espaces protégés régi par le code de l’environnement. Les quatre thèmes concernés lors de ce comité ont été l’assainissement, l’urbanisme, les espèces protégées et la pollution. Le directeur de la Réserve de Saint-Martin, Nicolas Maslach, et le responsable du pôle aménagements, surveillance et police de l’environnement, Franck Roncuzzi, ont travaillé aux côtés des procureurs de Basse-Terre, d’une juriste, du directeur de la Direction de l’environnement (DEAL) et de représentants de la gendarmerie, du Conservatoire du littoral, de l’ONCFS, de l’ONF, de l’Agence française de la biodiversité et de la Réserve de Saint-Barthélemy.

 

1er Copolen de Saint-Martin Le premier comité de pilotage de la police de l’environnement (Copolen) de Saint-Martin s’est tenu mi-décembre, dans l’objectif de mettre en place une stratégie de contrôle en matière de police de l’environnement. Cette stratégie a été examinée en relation avec l’urbanisme et le plan de prévention des risques, en présence de la Réserve, du vice-procureur Yves Paillard, du président Daniel Gibbs, de la préfète Anne Laubies, du directeur du service de l’urbanisme et de représentants de la DEAL, de la gendarmerie et de la Collectivité.

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L’optimisation des moyens pour assurer la qualité des missions

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